La matinée commençait plutôt bien coucher dans mon lit regardant le plafond. J'écoutais tout les bruits aux allants tours sans trop savoir pourquoi enfin peut-être pour m'éviter de penser à lui. Je regardais le réveil mais il n'était que six heures trente, j'avais donc assez de temps devant moi avant d'aller travailler à la bibliothèque. Sortant du lit tout en traînant des pieds, j'avançais jusqu'à la salle de bain voulant profiter du temps que j'avais pour une bonne douche froide. Laissant tomber ma nuisette sur le sol, j'entrais dans la douche laissant l'eau ruisseler quelque minutes tout le long de mon corps sans bouger cela m'éviter de penser à Ethan. Penser à lui n'était pas douleur jusqu'à ce que je me mette à partir en vrille. Je déraillais souvent laissant mon imagination envisager un nous, pouvant être dans ses bras, caresser ses cheveux, goûter ses lèvres mais surtout pouvoir lui dire "je t'aime". Sortant de la douche, je filais dans ma chambre pour enfiler un jeans, une blouse dos nu et mes baskets. Je me demandais si je devais les lissais, les laissais onduler ou les attachés…Je décidais finalement de les laissés libres et onduler comme presque tout les jours bref je me maquillais légèrement comme tout les jours, mis un peu de parfum. Me dirigeant dans la cuisine, je me préparais un bol de céréale avec un verre de jus d’orange rien de plus. Je débarrassais ma table, fis la vaisselle et prépara et programma le café pour ce soir sachant que j’en aurais grand besoins. Regardant l’horloge, je constatais qu’il était près de huit heures c’est alors que je pris ma veste en jeans, mon sac, mon ordinateur portable et mes clés partant en direction de la bibliothèque. La journée de travailler était épuisante plus que d’habitude mais, j'avais encore une semaine pour le terminer. J'avais envie de m'évader mais surtout de m'amuser c'est pourquoi je pris mon portable pour téléphoner à October. J'avais envie de faire des folies et qui d'autre pouvais-je appeler que ma chère October? Évidemment, elle était plus que ravie. Je lui donnais rendrez-vous au centre commerciale où évidemment, nous allions faire des folies avec les cartes de crédits. Allant chercher deux cafés, je l'attends devant l'entrée principale où je savais que cette journée avec elle serait vraiment une journée de folie.

J’aimais passer du temps avec October, ma folle comme j’aime la nommer. En faite, nous sommes toutes les trois de vraies folles mais surtout des meilleures amies. Notre amitié est très forte, on peut parler de tout et de rien sans jamais juger l’autre pourtant je n’avais pas réussis à parler d’Ethan dès que je suis revenue de vacance…Je m’en voulais de ne pas m’être confier à elles bien avant… Comme toujours elle était sublime mais de plus elle me prit dans ses bras si vite que nos cafés se sont presque renversé ce qui me fit rire de plus belle. Je me mis à rire et la regarda dans les yeux pour y voir quelque chose de différent, c’était comme si je me voyais en elle avant le retour d’Ethan…Apparemment, je n’étais pas la seule à savoir cacher ses sentiments surtout sa douleur. _Hey ! Ne t’inquiète pas tu es là c’est le principal et puis je viens juste d’arriver. Arrête et regarde de toi, tu es vraiment magnifique, sublime enfin parfaite comme toujours. Bon, tu as la carte bleue ? Les bonnes chaussures ? Mais surtout, prête pour une journée de folie ! J’éclatais de rire, je voulais lui changer les idées et peut-être en profiter pour discuter de nos peines de cœurs…Lui donnant son café, je la tirais par le bras ayant remarqué en passant une veste sublime qui lui irait à merveille. _Alors, bois ton café pendant que je t’explique les merveilles que j’ai repéré pour toi comme cette sublime veste qui a été faite pour toi j’en suis sûre et certaine. Quoi de mieux qu’une journée avec sa meilleure amie pour oublier mais surtout s’amuser et passer du bon temps ? October en avait apparemment besoin et je comptais bien être là pour elle. Je savais que ce n’était en rien facile de se confier mais, si elle en avait besoin je serais là quoi qu’elle ait envie de me confier parce que comme Lexie, je la considérais comme ma sœur.