| | LILY TATIANA CRUZ | Tell me that I am your OBSESSION | |
| Auteur | Message |
---|
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Lilly T. Cruz
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •
« Messages : 29 « Date d'inscription : 21/01/2011
| Sujet: LILY TATIANA CRUZ | Tell me that I am your OBSESSION Ven 21 Jan - 21:03 | |
| CRUZ Lily TatianaCélibataire - va sur ses 19 ans - Portugaise - Elite .
Bonne vivante ; Franche : Curieuse, ça n'en fait pas un défaut ? ; Lunatique ; Têtue ; plutôt cigale que fourmi ; Extravertie ; Artiste ; Enjouée.
|
Je suis une fille franche. Quand je veux dire quelque chose, je le dis, je ne passe pas par quatre chemins. Certes, parfois je suis blessante, et j'y pense. Mais je fais partie de ces gens qui pensent que la vérité est bonne à entendre, peut importe les conséquences. Ça m'a apporté un ou deux problèmes dans le passé, je vais pas le cacher, mais la plupart du temps, on m'en a remercié. On m'a souvent reproché d'être lunatique, têtue, d'être un peu trop extravagante. Mais personnellement, je ne trouve pas que mon humeur change si souvent que ça ... Bon, à part si l'on met de côté le fait qu'un rien me change d'état émotionnel, bien sûr. Mais c'est pas plutôt de la sensibilité ? Hein ? Têtue, têtue ... Faut pas exagérer ! Je sais juste ce que je veux, et quand je l'ai pas ... Bah j'insiste, quoi de plus normal ? J'aime tout avoir sous contrôle, je mets tout en œuvre pour que ça se fasse, tiens ! Quand à l'extravagance ... Je fais les choses en grand, es-ce trop ? Une fois, j'ai organisé mon anniversaire. Je devais avoir sept ou huit ans, mes parents ont dépensé je ne-sais-combien pour satisfaire toutes mes envies. J'avais tout fait dans l'esprit "conte de fées", c'était peut-être trop mais ... J'avais adoré ! Je ne vois pas pourquoi je devrais arrêter. Et puis, on n'arrête pas une tornade ! Quand j'ai dans l'objectif de faire quelque chose, je le fais BIEN, très bien. A ma manière, certes, mais bien. Ça me coûtes toujours un bras. J'ai la manie de toujours trop dépenser, c'est déraisonnable, mais plus fort que moi. Lors de shoppings, je suis intenable, pour refaire mon appartement à neuf, c'est presque pire. Si Dieu a inventé la carte de crédit, c'était pour se faire plaisir, non ? Sans limite, c'est tout de suite plus chouette ! Et puis, merci papa, merci maman d'avoir un compte presque illimité. Étant la petite chérie de l'un des deux, vider le compte en banque ne m'a jamais apporté énormément de soucis. Et puis, l'autre, il ne s'en aperçoit même pas. Je suis donc à l'abri de toute menace parentale concernant le plus grand malheur du monde : être coupé des vivres. J'aime découvrir de nouvelles choses, les apprendre, ça m'induit en erreur, tiens ! Quand j'ai une nouvelle lubie, j'aime être dans l'ambiance, c'est pas mon argent de poche qui va m'empêcher ces lubies. Et puis, la découverte ne doit pas être freinée, ça explique mes raisons dépensières ... Je pense. Oui, ça doit être ça. Autre côté de ma personne. J'aime faire la fête, vivre à deux-cents pour cent. J'ai conscience qu'on a qu'une seule vie, je la vis pleinement. Ça serait bête d'être freinée juste parce que je considères être éternelle. En clair, je profites de l'instant présent. Le passé est derrière moi, et le futur devant. Mais tout ce qui comptes, c'est l'instant présent. Certaine fois, je m'accable de voir que le passé me hantes, mais que puis-je y faire vraiment ? Le passé est ce qu'il est : passé et inéchangeable. Ma passion me tient cette joie de vivre : l'art. Dans toute sa splendeur. J'aime peindre, ça me communiques des choses qu'on ne voit pas dans une vie monotone, et la photographie. Ces clichés de choses réelles, ça change de passion romanesque non ? Et puis, les photos communiquent plus qu'elles n'y paraissent, malgré ces moments figés. Ai-je besoin de précisé que mon péché caché est le cinéma étranger ? J'en suis mordue. Pas glamour, mais tellement passionnant.
J'ai hérité d'une beauté quelque peu exotique, dirons-nous. J'aime me dire que je tiens ça de ma mère plutôt que de mon père, même si ce que me disent les gens qui nous connaissent tous deux m'accablent. J'ai toutefois les yeux de ma mère, cette femme que je trouve si belle. Pas d'une beauté superficielle qu'ont ces femmes d'une cinquantaine d'années, qui se font liftings sur liftings et carburent au crème rajeunissante. Je parle de cette douce beauté, qui en est presque un art. Cette beauté qui donne confiance et force l'admiration d'avoir été si chanceuse dans la vie. Voilà, il me semble que j'ai cet héritage là. J'ai assez eu de compliments pour en être sûre. Je ne vais donc pas m'accabler de modestie, je suis une belle femme. De plus, j'ai un corps qui a été bien travaillé, bien sculpté par ces heures passées dans les clubs de sports avec ma mère. Mais il me faut bien cela, car je dois plafonner les un mètre soixante, ça contrebalance. Mais je n'ai jamais vécu ma petite taille comme un handicap. Je pense être dans la moyenne. Et puis, ça laisse court plus librement à mes tendances psychotiques et complétement névrosées des talons. Je trouve que ça me fait de belles jambes. Et puis, ça ajoute au glamour d'une femme.
« Effacer le temps et surfer sur le présent.» Charlélie Couture
|
J'ai ouvert les yeux sur ce monde il y a dix-huit ans de ça, à Lisbonne, sur souhait de mon père, originaire du pays. Ma mère, américaine native, m'a de suite choyée, me mettant une cuillère en or dans la bouche, effectuant tout ce que je voulais, me donnant ce dont je rêvais. Du côté de mon père ... C'a été plus difficile. Homme souvent absent, plus absorbé par son travail qu'un hobby quelconque, je ne peux dire avoir vécu beaucoup de moments avec lui. Toutefois, lors de mon enfance, souhaitant découvrir de nouvelles choses, j'ai beaucoup voyager avec lui. Paris, Milan, Rome, Buenos Aires, Berlin, Rio, etc ... J'en ai fait des pays avec lui. Mais les voyages en avion étaient tout ce que nous avions. Rien de plus, pas de complicité, de tendresse d'un père à sa fille, que dale. Mais au final, je m'en f**tais pas mal. Ca c'est la version officielle. Mais la vérité c'est que la présence d'un père m'a beaucoup manqué, ma mère étant retournée à New York, j'étais délaissée. C'est vers la dizaine que j'ai décidé d'aller aux Etats-Unis avec elle, je n'y avais jamais été, mais il me tardait de découvrir ce pays qui faisait parti de mes origines.
Arrivée à New York. Mon anglais était quelque peu rudimentaire, même si j'étais au dessus de la moyenne, comme qui dirait. Mais je me suis vite mise dans le moule. Et puis, suivre ma mère, styliste en grande montée avec un carnet d'adresse bien remplit, ça me donnait une motivation de plus pour comprendre et apprendre la langue afin de communiquer avec des pros du milieu. J'ai évolué là-dedans, et puis de toute façon, j'étais formatée pour la mode depuis ma naissance. J'étais décidé à travailler là même où j'avais évolué. Le seul hic, c'est que je ne suis pas restée bien longtemps dans cette belle ville où je me sentais à mon aise. L'année de mes douze ans, je suis repartie au Portugal avec ma mère. Mon père était atteint d'un cancer, ce qui l'obligeait à se déplacer beaucoup moins pour se soigner, ce qui voulait dire : fini les beaux voyages. Mais c'était hors de question. Pour ma part, la maladie de mon père me touchait ... Mais beaucoup moins que si ç'avait été ma mère. Après tout, il m'était presque inconnu, je voyais aucune raison de vraiment m'apitoyer. Même sans eux, j'ai continué mes vadrouilles. J'avais exigé et obtenu un appareil photo avec lequel je me baladais partout. Il m'accompagnait partout, je ne le quittais pas. Mes clichés étaient nombreux, certains sans intérêts, mais d'autres, je les trouvais sublimes. C'est de là que j'en ai conclus qu'en plus de prendre du plaisir à les faire, je me débrouillais pas trop mal dans ce domaine là. En bref, j'avais une adolescence bien remplie. Et puis vivre dans l'Elite, ça convient à toute personne. Je m'en suis jamais plainte, car arrivée à un certain âge, j'avais une liberté totale et accumulais les extras. Genre, fête sur fête, soirée sur soirée, etc ... J'aimais ça, c'était mon train de vie. Ensuite, il y a LA question qui vient. Quand est-il des études, avec une vie pareille ? J'ai longtemps était scolarisée. Mais c'était un échec, je cumulais les absences et les lacunes dans tous domaines. J'ai donc pris des cours par correspondance, là tout de suite, ça allait mieux. Ça me contentait, ça convenait à mes parents, et je pouvais continuer à faire ce qu'il me chantait. Et puis il y a eu ce jour. Celui où j'ai bien cru que j'allais devoir m'habiller en noir sous le soleil de Lisbonne pour enterrer mon père. Il avait été admis d'urgence à l'hôpital car son état empirait. Ma mère n'arrêtait pas de se lamenter dans son bureau décoré par un pro, ordonnant à quiconque viendrait quelque chose d'absurde. J'étais assise dans un coin, à feuilleter la prochaine collection qu'elle avait crée. J'étais dans un état de zénitude qui semblait la dépasser. «Arrêtes donc de te ronger les sangs» lui dis-je sans lever même les yeux vers elle «Tout le monde ne peut pas être aussi émotionellement insensible que d'autres.» «C'est ça. Et d'autres ne peuvent pas être tout à fait barge comme d'autres.» Elle me toisa. Je haussais les épaules. Je n'étais pas insensible. J'avais peur, en faites. Mais un peu. La mort de mon père ne m'aurait pas brisée tout à fait si elle avait eu lieu. J'aurais pleurer pour faire bonne figure, mais tout ça s'arrêtait là. Non, en faites j'avais beaucoup plus peur pour ma mère, bien que mariée avec depuis plus de vingt ans, elle soit encore bien attachée avec et sombre dans une véritable folie s'il venait à nous quitter. Ca n'aurait pas été la première fois. Et cette fois ses amants ne l'auraient pas sauver. Le téléphone sonna, annonçant la bonne nouvelle "d'une mauvaise passade, mais sans aucun danger". Quand on a l'argent qu'il faut, c'est fou comme le monde médical s'empresse à sauver le monde sans trouver aucune faille ni point fatal. «Tu vois. Je te l'avais bien dit.» Ma phrase favorite au monde. Je prouves ainsi que j'ai toujours raison. Elle ne releva pas. «Le médecin dit qu'il lui faudra du repos. Ce qui signifie ni voyage, ni de stress trop fréquent.» «Ce qui signifie plus de boulot ? Il va craquer avant la fin du terme annoncé.» «Peut-être, nous verrons bien» Et là, ça m'a fait tilt. Je ne me souvenais jamais avoir eu une idée aussi brillante, arrivée à point, dans des circonstances tout à fait plus incongrues. Et puis surtout, une motivation : je ne voulais pas rester. Quand d'autres se seraient damnés pour pouvoir rester avec leur famille, j'avais besoin de m'échapper. J'exposais l'idée d'aller étudier ailleurs à ma mère. Elle qui avait toujours penser que je ne ferais rien de bien concret par mes propres moyens dans ma vie, elle était étonnée de l'initiative. La seconde d'après, je surfais sur le net en quête d'une université tout à fait potable, je me fichais de ce que je pourrais étudier, au final. Même si le design me tentait bien. L'endroit ? Je cherchais. Des villes me venaient en tête, celles où j'étais allée, que j'avais aimé. Mais aucune que je trouvais assez bien, au final. Je me voyais mal m'intégrer dans tous les films que je me faisais. Et puis je suis tombée sur une photo de New York. Cette ville, j'y avais vécu deux ans, je m'y étais accommodée comme dans aucune autre. Je connaissais du monde, je connaissais la ville, son plan. Je n'avais plus à chercher.
J'ai intégré Cooper's University peu après mon arrivée dans la ville, il y a un an. La transition de ma terre Portugaise tant-aimée aux USA ne m'a pas vraiment chamboulé. Ça m'a même soulagé. Je garde une correspondance ferme avec ma mère, mais pas avec mon père. Je dois recevoir deux foutues cartes de sa part, et tout ça par an, mais je ne prends pas la peine d'y répondre. Ce ne sont que des formes, rien de bien réel qui puisse témoigner d'un manque affectif.
Skyler C. Daniels « Lily a rencontré Skyler quand ils étaient en vacances ensemble à Paris. Pas sur une plage non, dans un manège. Et oui, ils avaient 7 ans quand ils se sont vus pour la première fois. Etant donné qu’ils n’avaient pas le même endroit, ils avaient prit l’habitude de se retrouver au manège tous les jours à la même heure. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Skyler est rentré à New York et Lily à reprit la route avec son père. Ils se sont recroisés à l’âge de 13 ans à Madrid. Aucuns des deux n’arrivaient à le croire, et pourtant. Ils ont commencés à sortir ensemble, une petite amourette de vacances au bord de la plage, tout le monde connait ça. Et ils se sont de nouveaux quittés. Mais jamais deux sans trois non ? Skyler ignore aujourd’hui que Lily est à New York, dans la même école que lui. Lily elle, elle le sait. Elle le voit mais n’ose pas aller lui parler. Pourtant, elle n’est pas du genre timide et pourtant, elle bloque totalement. Après tout, Skyler à changé et pas sûr qu’il reconnaisse Lily. » Prénom & Nom Description du lien Prénom & Nom Description du lien
|
Pseudo: Milky Pv : Oui [x] Non [] Comment trouves-tu le forum: Waoh, je craque ! C'est un contexte bien fondu, mélangé. Moderne. Pas qui sort de l'ordinaire, "original", comme qui dirait, mais le tout est bien tourné, je craque ! Le personnage m'a tapé dans l'œil, de plus, je connais un peu le terrain sur lequel se situe son histoire, donc j'ai pas pu m'en empêcher ! Où l'a tu trouvé: J'ai eu l'adresse par message électronique Le Code: {Ok par O.}
|
Dernière édition par Lilly T. Cruz le Lun 24 Jan - 11:10, édité 24 fois |
| | | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Kayla A. Carlson
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •
« Messages : 143 « Date d'inscription : 14/01/2011 « Âge : 33 « Localisation : Où tu ne t'y attends pas!
| Sujet: Re: LILY TATIANA CRUZ | Tell me that I am your OBSESSION Ven 21 Jan - 22:35 | |
| Qui? Nous? Non, pas du tout ^^
|
| | | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | |
| | • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Contenu sponsorisé
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •
| Sujet: Re: LILY TATIANA CRUZ | Tell me that I am your OBSESSION | |
|
|
| | | | LILY TATIANA CRUZ | Tell me that I am your OBSESSION | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |